Le principe de Shopopop est simple : en quête d'un complément de revenus et souhaitant optimiser leurs trajets, des particuliers livrent des colis (alimentaires ou non) commandés par d'autres particuliers via une application. Ils perçoivent une rémunération de 5 € minimum par course. Présente dans 1 530 villes (238 000 utilisateurs, dont 50 000 « shoppers », les livreurs), cette start-up nantaise s'est implantée en Seine-et-Marne en janvier (partenariat avec l'Intermarché de Vaux-le-Pénil).
« En Seine-et-Marne, nous avons doublé nos livraisons en mars, explique Johan Ricaut, le cofondateur. Mais notre principal souci est de maintenir un niveau de service et de sécurité fiable. » La plateforme recense actuellement 670 magasins partenaires. Et en signe de solidarité, un tarif préférentiel est pratiqué pour les maisons de retraite.