Sur fond d'affaire Weinstein, Sandra Muller, journaliste française, lance sur Twitter et Facebook, un appel aux victimes pour qu'elles racontent le harcèlement sexuel dont elles ont été ou sont l'objet dans leur milieu professionnel.
Son #balancetonporc devient viral et, en quelques jours, des milliers de témoignages de harcèlements, d'agressions et même de viols sont rapportés sur les réseaux sociaux. Mais quels risques juridiques cette libération de la parole fait-elle courir aux femmes qui témoignent ? lire la suite